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Née à Bruxelles, je vis en France depuis 1990. Artiste depuis plus de 20 ans, mon travail est essentiellement photographique.

Néanmoins, j'adapte mes techniques en fonction  de mes envies et de mes projets. L'actualité, les rencontres, les faits de société  sont principalement  mes sources d'inspiration. Sans être moralisatrice, je constate, j'évoque, je donne à voir…

Souvent mes travaux s’inscrivent directement  auprès de la population. Dans certaines de mes “installations - actions” je travaille conjointement avec les gens dans le but de mettre en œuvre un événement sur la scène publique, dans d’autres ce sont les oiseaux (mouettes, coq, pigeons) qui en sont les acteurs.

annick et Hardi le coq.jpg

...S’il est un bénéfice que l’art contemporain continue d’apporter aux artistes plasticiens d’aujourd’hui, c’est bien celui de la liberté de création. Une liberté totale, absolue, aux pieds de laquelle ont été immolés tous les dogmes, règles et autres académismes. Ouf !
L’horizon enfin dégagé par les avant-gardes, on peut se permettre ce qui était s acrilège voire impossible. Annick Sterkendries ne se l’est pas fait dire deux fois. En 1989, elle débarque de sa Belgique natale. Et voilà cette «chercheuse de rêves» qui s’adonne sans complexe à toute pratique plastique susceptible de capter  et de transmettre les émois du vivant et les vibrations de la matière.../
Michel Luneau . Ecrivain, directeur centre d'art contemporain Rairie 2010

 

...L’idée princeps, celle qui précède toute installation, tout acte culturel, trouve son domicile ultime dans les photographies d’Annick Sterkendries. La somme d’expériences en garantit la pertinence et l’unicité. A l’heure où on s’interroge si la photographie doit être plasticienne ou non, elle rend la question sans objet.
Benoit Decron. Conservateur du musée des Sables d'Olonne. 2008

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